Assurance-vie

Du nouveau avec les contrats « vie génération »

Investir dans l’économie réelle

Les contrats « vie génération » ne comportent pas de fonds euro à capital garanti. Ils sont investis uniquement en unités de compte.

Au moins 33% de ces unités de compte doivent être placés dans des fonds consacrés au financement de l’économie réelle, soit des petites et moyennes entreprises (PME) ou des entreprises de taille intermédiaire (ETI).

Ces contrats présentent un risque plus élevé qu’un investissement sur un fonds en euros, donc doivent être souscrits avec un objectif de diversification. Ils peuvent en effet fluctuer à la hausse comme à la baisse au gré de l’évolution des marchés financiers.

Un abattement supplémentaire de 20%

La contrepartie d’une prise de risque plus importante dans la gestion des actifs financiers est un abattement spécifique lors du dénouement du contrat d’assurance-vie au décès de l’assuré.

Un abattement supplémentaire de 20% s’applique sur les capitaux-décès transmis, préalablement à l’abattement de 152 500 € par bénéficiaire, lorsque les primes ont été réglées avant les 70 ans de l’assuré (article 990 I du CGI).

Le contrat « vie génération » convient aux clients souhaitant un avantage au titre de la transmission tout en acceptant des investissements diversifiés.

Réservés à la diversification d’un patrimoine

Les contrats « vie génération » permettent la réduction de l’assiette imposable des capitaux-décès transmis.

Ils sont plus particulièrement dédiés aux investisseurs disposant déjà de contrats d’assurance-vie dont la valorisation est supérieure à 152 500 € par bénéficiaire.

Néanmoins leur appétence au risque doit être validée et le choix des OPC dédiés devra être effectué avec vigilance.