Assurance Accidents de la Vie : prévoyez l’imprévisible

Si la Sécurité sociale et une complémentaire santé remboursent partiellement vos dépenses de santé, d’importantes sommes d’argent peuvent rester à votre charge, et les conséquences sur votre porte-monnaie peuvent être difficiles à gérer. L’Assurance Accidents de la Vie comprend un ensemble de garanties qui couvre les frais hospitaliers (30 €/jour pendant 3 mois pour une hospitalisation supérieure à deux jours), mais aussi les frais médicaux et pharmaceutiques qui ne seraient pas pris en charge par les organismes sociaux. Le contrat prévoit aussi l’avance des frais d’hospitalisation à l’étranger.

Le contrat prévoit également de vous couvrir dans le cas où l’accident entrainerait une impossibilité de travailler. Si vous êtes hospitalisé ou en arrêt de travail à la suite d’un accident, vous percevez une indemnité de 30 € par jour pendant 2 mois, afin de garder l’esprit tranquille et combler une éventuelle perte de revenus. Vous rencontrez un litige avec votre employeur suite à votre arrêt de travail, et vous souhaitez défendre vos droits ? Découvrez notre offre de protection juridique pour obtenir des conseils et la prise en charge de vos frais en cas de litige.

D’autres préjudices sont aussi pris en compte par notre formule pour vous indemniser suite à un accident. Il peut s’agir de préjudices financiers (perte de revenus professionnels, aménagement du logement ou du véhicule nécessaire à l’autonomie de la victime...) ou de préjudices personnels (impossibilité de pratiquer un sport, gêne ou handicap impactant la vie personnelle...). Une grosse fracture après une chute ? Une coupure lors de travaux d’intérieur ? Une brûlure en cuisinant ? Dès lors que votre taux d'AIPP (Atteinte à l'Intégrité Physique et Psychique) est supérieur à 1%, vous percevez une indemnisation pour couvrir les conséquences de votre accident.

Exemple d’indemnisation : vous vous êtes sectionné une phalange de l’index et du majeur en taillant la haie de votre jardin. Votre médecin vous a prescrit un arrêt de travail de 15 jours, et estimé votre invalidité permanente à 7% : grâce au contrat d’Assurance Accidents de la Vie, vous bénéficiez d’une indemnisation de 2 300 € pour votre séquelle physique, d’une indemnisation de 3 500 € au titre de la souffrance endurée et d’un accompagnement psychologique si vous le souhaitez.

En cas de dépendance totale ou partielle, Plans Autonomie vous permet d’obtenir une rente mensuelle, d’adapter l’aménagement de votre logement à votre situation et de bénéficier de services d’assistance au quotidien.

Le rôle de l’assurance accidents de la vie est de couvrir les accidents corporels au quotidien. Elle vient donc en complément, selon le cas, d’une complémentaire santé ou encore d’une assurance scolaire, en renforçant et en élargissant la protection des bénéficiaires. Par exemple, des indemnités supplémentaires peuvent être versées en dédommagement des dommages psychologiques, esthétiques ou professionnels. De la même façon, l’assurance accidents de la vie est un complément conseillé à la responsabilité civile, qui couvre les dommages que vous pouvez causer aux autres mais ne vous couvre pas en cas de blessures subies, par vous, votre couple ou vos enfants en cas d’accident de la vie courante.

Si vous êtes victime d’un accident de la vie, contactez notre numéro vert (0800 00 60 60) ou contactez directement un chargé d’affaires. Vous pouvez aussi déclarer votre accident depuis votre espace client sur le site ou l’application CIC², et suivre le traitement de votre dossier depuis ces espaces.

Certains types d’accidents ne sont pas couverts par l’assurance accidents de la vie, par exemple :

• les accidents de la route, qui sont pris en charge par une assurance dédiée (le contrat couvre cependant les dommages subis dans le cas d’un déplacement à bord d’un véhicule légalement limité à 25 km/h, tel qu’un vélo ou une trottinette) ;
• les accidents du travail ;
• la pratique de certaines activités sportives considérées comme dangereuses ;
• la pratique d’un sport exercé à titre professionnel ;
• les dommages que l’assuré s’est causé intentionnellement ;
• les dommages résultant d’une participation volontaire de l’assuré à un crime ou un délit.