Un contexte tourmenté
Le mois de mars a été marqué par une extension des cas, faisant de l’Europe le centre de la pandémie avant que les USA ne soient maintenant dans une situation particulièrement préoccupante.
À cette problématique sanitaire s’ajoute une chute sans précédent des cours du pétrole. Les différentes mesures annoncées par les Banques centrales et les politiques budgétaires des autorités ont eu pour effet de limiter la dynamique de baisse des marchés.
Conserver le cap sur le long terme
Les investissements en épargne financière, notamment les supports en unités de compte (UC) en assurance-vie, peuvent connaître des performances négatives en ce début d’année et une forte volatilité dans leur valorisation.
Il est important de garder en mémoire que les investissements en épargne financière, sont des investissements de long terme, dont l’horizon de placement est généralement de plusieurs années, pour faire face à des besoins eux-mêmes de long terme (financement des études d’un enfant, retraite, dépendance, etc.).
Opter pour les versements programmés
Face à la baisse des marchés, les versements et investissements programmés trouvent aussi tout leur sens. Ils constituent le meilleur moyen de limiter les risques. En effet, à dépense constante, cela permet, en période de baisse, d’acheter davantage de parts. Les titres financiers varient à la hausse comme à la baisse en fonction de l’évolution des marchés. Quand les marchés remonteront, ces parts feront augmenter la valeur du portefeuille.
Diversifier vos placements
Enfin, selon l’adage, « ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier », il est fortement recommandé de diversifier ses placements financiers, par exemple, en utilisant des véhicules d’investissements collectifs, comme les OPC1, ou en investissant dans différents secteurs d’activité, différentes zones géographiques, etc.